Aujourd'hui (1er novembre), le ministère des Affaires étrangères de Grèce a fait une nouvelle déclaration dans laquelle il a répété ses affirmations sans fondement concernant les activités de prospection sismique menées par la Turquie sur son propre plateau continental en Méditerranée orientale.
C'est un effort futile de la part de la Grèce d'exprimer ses objections à nos activités en affirmant ses prétentions maximalistes après chaque annonce de NAVTEX. La Turquie poursuivra ses activités dans la région dans le cadre de ses droits découlant du droit international.
La Turquie est prête à coopérer avec la Grèce et à résoudre les problèmes entre les deux pays par le dialogue. Il va sans dire que nous continuerons à protéger avec détermination les droits et intérêts légitimes de la Turquie et ceux de la République turque de Chypre du Nord.
Nous attendons de la Grèce qu'elle s'abstienne de toute escalade dans la région, qu'elle contribue à créer un climat propice aux négociations et qu'elle déclare qu'elle est prête à engager les pourparlers ; au lieu d'accuser la Turquie avec des allégations sans fondement et de se plaindre comme d'habitude auprès des tiers.
Nous invitons ainsi une fois de plus la Grèce à dialoguer avec la Turquie afin d'aborder, sans conditions préalables, à la fois la question des zones de juridiction maritime en Méditerranée orientale et d'autres questions interdépendantes entre les deux pays.