La rencontre de la Représentante spéciale des Nations Unies pour les
enfants et les conflits armés, Virginia Gamba, avec le terroriste du PKK «
Ferhat Abdi Şahin », qui commande les soi-disant « Forces démocratiques
syriennes » dominées par l'organisation terroriste PKK/PYD/YPG, afin de
signer un « Plan d'action » à l’Office des Nations Unies à Genève à l’insu
des membres, est un incident grave que nous condamnons fermement.
Suite à cet incident, les démarches nécessaires ont été immédiatement
menées auprès des autorités des Nations Unies. Il ne peut pas y avoir
d'explication pour que les Nations Unies, qui devraient être à
l'avant-garde dans la lutte contre le terrorisme, concluent un accord avec
une organisation terroriste. Cet acte constitue également une violation
manifeste par les Nations Unies de ses propres résolutions sur le
terrorisme.
La confirmation de la part des Nations Unies que l'organisation terroriste
PKK/PYD/YPG a commis les violations les plus graves du droit international
et du droit international humanitaire contre les enfants, y compris le
recrutement et l'utilisation par la force, est importante pour révéler une
fois de plus les antécédents de l'organisation terroriste dans ce domaine.
Néanmoins, il est toutefois tout à fait inacceptable que l'ONU ait pris une
organisation terroriste avec du sang sur les mains comme interlocuteur pour
aborder ce problème.